* Des sources Mythiques dans la pensée de Freud

A l'apogée de vague structuraliste (considérant la langue comme un ensemble structuré où les rapports définissent les termes), il pouvait sembler que le mythe représentait une catégorie de la pensée indiscutable.

Pour Claude Lévi-Strauss, un mythe était immédiatement reconnu comme tel par tout auditeur, cependant qu'est ce qui  permet de distinguer un Mythe d'un conte ?

La confusion s'installe, en général, par leur points communs résident dans le fait que les dieux et créatures mythiques n'ont cessé de se comporter qu'en rapport à des préceptes moraux  reconnus.

Mais en l'étude spécifique des Mythes, la mythologie est une "forme introuvable*" en opposition au conte qui sont un type de récit spécifique.
Dans le mythe d'Oedipe, par exemple, Freud se réfère explicitement non pas au mythe mais à la représentation de la tragédie de Sophocle.

Pour le Narcissisme, Freud reprendra une description clinique pour désigner le comportement par lequel un individu traite son corps de façon semblable à celle dont on traitre d'ordinaire un objet sexuel.

 

Freud ne désigne pas un concept mais établi une contiguïté entre l'agi pervers et un type de fonctionnement mental.

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